Errant dans les bois de Grand roches, un
voyageur fut attiré par une douce mélodie. Un violon peut être,
s'approchant de l'épicentre du son, guidé par le son envoutant
de l'instrument. Il arriva au centre d'une clairière il était pourtant
sur que la musique venait de là mais plus personne n'était en vue.
C'est alors que la musique repris de plus belle, il lui semblait
qu'elle provenait de la cime même des arbres... il sortit immédiatement
un bout de vélin usé par le temps et sa vielle plumes.
Voici ce qu'il put en noter:
" Ô Gaïa mère de la nature;
Montre moi le chemin,
Voila guide mes pas,
Je te prend donc la main,
Présente moi ta voie.
Ô Gaïa mère de la nature;
Toi pour qui,
Bois et fleuves,
Sont une demeures,
Montre moi le chemin.
Ô Gaïa mère de la nature;
Toi pour qui,
Aciers et forges,
Apportes les rancœurs,
Guides mes pas.
Ô Gaïa mère de la nature;
Toi pour qui,
Faune et flore,
Livres leurs vies,
Je te tend la main.
Ô Gaïa mère de la nature;
Toi pour qui,
Beauté et laideur,
N'ont que peu de sens,
Présente moi ta voie.
Ô Gaïa mère de la nature;
J'implore ton aide pour comprendre tes créatures.
Je souhaite me faire pardonné,
De créatures que j'ai put offensé,
J'ai malheureusement blessé,
Un animal égaré.
Je ne peut plus en dormir,
Mon seul souhait et de me repentir.
Ô Gaïa mère de la nature;
Je te tend la main,
Présente moi ta voie,
Montre moi le chemin,
Guide mes pas.
Ô Gaïa mère de la nature...
Ô Gaïa ... soit clémente...
Ô Gaïa ...femme aimante...
Ô Gaïa mère de la nature...
Je te dedis ma vie future ... "
Le voyageur se réveillât a l'orée des bois, un bout de vélin griffonné dans la main, peut être que ce fus un simple rêve ?
Seul le violoniste pourrait répondre a cette question...