Au début de siècle duarte était une paisible petit communauté de 20 000 âmes principalement des retraités ayant choisi le calme de ces collines
En trente ans les choses ont bien changer et c'est un euphémisme. Suite à l'invasion de Haïti par les témoins de Jéhovah, de nombreux haïtiens on du évacuer l'île pour se réfugier aux États Unis, au Mexique et dans les caraïbes. Bien souvent clandestin, les clandestins ont rapidement demander le statut de réfugié politique. Suite a cela le gouvernement californien n'a pas eu d'autre choisie que de les parqués dans des camps de transit en attendant qu'une décision soit prise. L'un de ces camps, celui de Monrovia, est le plus grand de los angeles et recueille 15 000 réfugiés en attente de régulation. Dans la ville voisine de duarte, les réfugiés régularisés se sont installés pour rester avec leurs proches encore dans les camps.
Les premiers veinard a sortir on eu le privilège de se loger dans les habitations vacants par beaucoup d'habitant dégouté par leur nouveaux voisinage. Et pour les autres qui ont été libéré récemment, ils peuvent vivre dans un bibonville surnomme amicalement " 'tit Port-au-Prince".
Malgré les protestations des riverains, la municipalité n'a pas réagi a la construction du bibon ville de contentants d'en appeler a l'esprit de compassion et d'humanité des habitants pour qu'ils tolèrent et accueillent ces nouveaux arrivants et faisant valoir l'aspect provisoire de la situation.
Depuis une dizaine d'années, la croissance du ghetto est ininterrompue et se déroule selon une mécanique bien huilée. Des nouveaux réfugiés arrivent a flot continu. Une fois attrapés par l'INS, ils demandent l'asile politique et sont expédiés au camp de Monrovia. Le sésame obtenu, ils sortent et s'installent dans le bidonville de duarte! Dépassé le gouvernement californien est obligé d'accéder aux demande d'asile car Haïti est désormais un pays fermé (Jéhovah ont détruit les aéroport et les port) et il n'y a aucun moyen de renvoyer ces pauvre gens dans leur pays.
Le tableau est plutôt sinistre. D'un côté vous avez les habitants originels, bloques ici parce qu'il faut bien payer le crédit d'un appartement que personne ne veux dans une amertume totale née d'un sentiment d'abandon de la municipalité envers les riverains.
Et de l'autre des dizaines de milliers d'haïtiens croupissent dans un bidonville autant insalubre que vaste. La majorité de haïtiens qui y vivent font des menu larcins et de petit trafic et les rares qui travaillent sont presque des esclaves.
"'Tit port-au-prince" est une véritable antichambre de l'enfer ou y règne violente, misère et maladie. Pas d'école, peu de médecin, pas d'eau courant et les flics qui ne se rendent plus dans ce labyrinthe de taule et de ruelle. Voilà le tableau d'un des quartier les plus dangeurex de LA
Population: 50 000
Niveau de vie: -1
Pollution: forte proportion de GP
Zones commerciales: 20%
Zones industrielles: 20%
Zones résidentielles: 60%
Criminalité: +1
Délit mineur: +1
Présence policière: 0
Coopération avec les forces de l'ordre: -1